23 juin 2007
Plouf-plouf
Allez, petit à petit, on rentre dans le bain. Un frisson agréable qui gagne le corps tout entier. D'abord les orteils, puis doucement les jambes, les cuisses, le ventre, et enfin on ose s'imerger tout entier, se laisser doucement sombrer jusque tout au fond. Parfois même on fini par s'oublier dans ce monde assourdi et déformé, et on ne pense plus à revenir respirer à la surface.
Allons bon, je vais trop loin dans les métaphores pourries faciles, je ne sais plus où j'en suis. Toujours au même point, en fait.